Téléphonie mobile

La recette de l’Allemand Telefunken pour réussir au Maroc

Miser sur la fiabilité allemande et les smartphones. C’est la stratégie que s’est tracée l’entreprise créée en 1903 pour réussir son retour au Royaume. Telefunken entend aussi capitaliser sur le succès réalisé au niveau des téléphones fixes qu’elle a commercialisés au Maroc depuis juin 2016. L’entreprise a mis 5 modèles sur le marché.

Prix : 1350 DH
Prix : 1350 DH

Dans les détails, la stratégie de l’entreprise qui vendait les télévisions et radios dans le Royaume entre les années 1950 et 1980 repose sur 4 T :

Target (cible) : 15-45 ans.

Trust (confiance) : Rétablir la confiance à travers l’ingénierie allemande.

Technology (technology) : Telefunken compte acquérir 5% du marché marocain de la téléphonie mobile, estimé à 4 milliards de Dh, à travers une technologie allemande innovante, la pénétration du marché par le bas et une gamme qui répond au besoin du consommateur. Pour se différencier de la concurrence, les smartphones avec des fonctionnalités propres à la marque (qui n’existent pas chez les autres fabricants) seront commercialisés à partir de septembre 2017.

Triumph (triomphe) : « Le futur a besoin d’héritage. Nous sommes confiants ; la marque n’a pas besoin de faire ses preuves. Telefunken est connue et reconnue mondialement, que ce soit au niveau de la notoriété ou de l’ingénierie », précise Omar Lahlou, directeur général adjoint de We do, distributeur exclusif des Telefunken en Afrique et dans la zone MENA.

Prix : 1550 DH
Prix : 1550 DH

Telefunken a choisi de mettre sur le marché comme phase de départ 3 smartphones. Concernant la prochaine étape, l’entreprise allemande compte commercialiser les produits bruns et blancs (télévisions et réfrigérateurs) à compter de l’année 2018. Telefunken vise aussi à faire du Maroc son hub de l’Afrique du Nord et de l’Afrique subsaharienne.

Prix : 1750 DH
Prix : 1750 DH

 
Article précédent

Il fait l’actu : Mohamed El Kettani, président du groupe Attijariwafa bank

Article suivant

Navire arraisonné en Afrique du Sud : l’OCP dénonce un « acte de piraterie politique »