Dossier

Pourquoi et comment taxer l’agriculture

A découvrir dans ce dossier

Le débat sur la fiscalisation de l’Agriculture est relancé dans une conjoncture où la recherche du renforcement des recettes de l’Etat est l’objectif prioritaire. Notre dossier refuse de se cantonner à ce seul objectif. L’impôt agricole n’est pas un frein au développement du secteur. Les différentes politiques publiques n’ont pas changé la nature duale de notre agriculture. 80 % des exploitations ne peuvent être qualifiées de moderne. Surtout l’effort en infrastructures, en équipements collectifs est très loin du niveau nécessaire pour améliorer la vie des paysans et assurer leur accès au service public. Le code des impôts est prêt et il prévoit un impôt agricole. Nous en publions tous les détails. Il restera aux politiques de s’assumer. Il faudra ensuite régler le problème des intermédiaires et des marchés de gros, pour assurer un revenu décent aux petits agriculteurs. Là aussi, chiffres à l’appui, le constat sur la gestion passée est affligeant. C’est à la représentation nationale de réagir.

Fiscalité agricole et cadre incitatif à l’investissement : Bilan et perspective ?

Il était temps de quitter le paradis fiscal. L’emprunt sémantique est permis pour des raisons liées à une croyance ancrée en nos capacités à vaincre la pauvreté et à créer la richesse. Le discours royal du mois d’aout 2008 est un appel à la raison, au courage et à la créativité des acteurs du secteur agricole que tout le monde considère comme étant vital pour notre économie

Marchés de gros : énorme manque à gagner pour les communes

Il appartient à un autre âge, il fonctionne comme un cirque et ne permet pas de s’assurer de la salubrité des lieux ; c’est le marché de gros.

Ce dossier sera disponible dans le Challenge #427, en vente dès vendredi 7 juin chez votre marchand de journaux.

 
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