Adil Lahlou
Archive de l'auteur

Adil Lahlou

L'édito

L es réserves de changes ontfondu de 14% en un an. C’estune position simpliste que detout mettre sur le dos de la tendancebaissière du marché des phosphates.La gestion de l’OCP est hyperperformante,de cela, tout le mondeconvient. Mais les phosphates n’étantpas le pétrole, il ne faut pas se cacherles vérités. L’économie

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L'édito

  Casablanca a vécu pendant deuxdécennies sans schéma directeurd’urbanisme. La métropole étaitsous le régime des dérogations qui acausé des catastrophes. La ville étantsous la pression du taux d’urbanisationle plus fort du pays. L’Agence urbainea enfin établi le fameux document.Seulement les lobbys du foncier, fortreprésentés au sein des élus, freinentdes quatre

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L'édito

  Les Assises de l’industrie ont lieuà l’heure où nous mettions souspresse. Ce genre de manifestationest surévalué médiatiquement. Leséchanges qu’il permet, ne sont pas nécessairement fondateurs de politiquespubliques relevant d’une vraie stratégie.Notre dossier du numéro précédenttentait de lancer le débat.Selon les informations de la presse, lapatronne du patronat s’escrime à aider«Maghreb

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L'édito

  Le plan émergence a montré seslimites. L’industrie marocaine està la traîne dans le processus dedéveloppement. Il s’agit là d’un constatdouloureux pour plusieurs raisons. LeMaroc ne peut assurer son décollage ens’appuyant sur le secteur tertiaire, celuides services. Il n’a pas les qualificationsrequises en nombre suffisant et surtoutcela ne permet pas

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L'édito

L e Chef du gouvernement et sonministre chargé des relations avecle Parlement défendent la faiblesse,l’extrême faiblesse de la productionlégislative durant la première année, parle fait qu’ils sont élus pour cinq ans. Il y a,bien sûr, les textes organiques pour la miseen application de la Constitution, maispas uniquement. Le monde économiqueattend

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L'édito

Nous avons la mauvaise habituded’importer les débats françaistels quels, sans même essayer detenir compte du contexte. Ainsi en est-ilde la compétitivité, on ne peut qu’êtreatterré par ceux, très nombreux, qui lalient exclusivement aux charges, dansun pays où le SMIG est inférieur à 2000DH. Une voiture sur trois circulant enChine est

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L'édito

Les prix des fruits et légumes se sont envolés. Le panier de la ménagère a renchéri d’environ 20 % selon les statistiques, avec des différences notables entre les villes, Marrakech étant en tête de liste. Le ministère de l’Agriculture laisse entendre que ce n’est que conjoncturel et que les prix

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L'édito

L’année 2012 s’achève dans un climat d’affaires très morose. Bank Al Maghrib a demandé aux banques d’adopter une politique de provisionnement très prudente, en prévision d’une sinistralité plus grande. C’est dire si l’angoisse concernant les entreprises, industrielles en particulier, est grande. Le Maroc ne peut se permettre de laisser filer

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L'édito

En cette fin d’année, les mauvais chiffres s’accumulent. Après celui de l’approfondissement du déficit de la balance commerciale, l’on apprend que les virements de MRE ont baissé de 4 %. Il y a sans doute, l’effet de la crise qui frappe les pays d’accueil et qui touche de manière drastique le

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L'édito

Le Maroc a réussi à placer à l’international les Bons du Trésor à un taux moins élevé que l’Espagne ou la Grèce. C’est le rating du pays qui a permis cette performance. Cette note est le fruit de l’effort d’assainissement des comptes publics, mené depuis le gouvernement d’alternance. Cependant, il

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L'édito

La Loi de Finances est sous le couperet d’une règle très éloignée du jeu de la majorité et de l’opposition. En effet, la composition actuelle de la deuxième Chambre est manifestement en contradiction avec la Constitution. Dès lors, certains ont déjà annoncé qu’ils saisiront le Conseil constitutionnel pour annuler le

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L'édito

Finalement, le gouvernement a accepté plusieurs amendements présentés par sa majorité. Le plus important concerne le logement pour les classes moyennes dans le cadre du logement social. L’éligibilité à l’exonération passe de 5000 DH le m2 à 6000 DH, soit une augmentation de 20 %. C’était là une revendication des

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