Universités

Et maintenant, que faire dans l’enseignement supérieur privé?

Cette année, un total de 156 429 candidats (scolarisés et candidats libres) ont réussi les épreuves du Baccalauréat lors de la session ordinaire de juin 2014, en hausse de 6,4% par rapport à l’année dernière. Les filles représentent 49,8% du total des admis. Le taux de réussite chez les candidates s’est établi à 43,06%, contre 36,25% pour les garçons. Le nombre total des admis scolarisés s’est élevé à 141 984, soit un taux de réussite de 44,03%, contre 43,61% lors de la session ordinaire de l’année 2013. Même tendance haussière chez les candidats libres où le taux de réussite s’est établi à 19,24% en 2014 contre 13,37% à l’issue de la session ordinaire de 2013. Par branche, les taux de réussite dans les branches scientifiques, mathématiques et techniques restent stables, à 45, 20 % alors que les filières littéraires et l’enseignement originel, à 32,19 %, améliorent leur score de 4 points en moyenne. 176 000 recalés ont été autorisés à participer à la session prévue du 8 au 10 juillet, soit 44,31 % des candidats présents lors de la première session. Les résultats seront proclamés immédiatement après les délibérations prévues ce 18 juillet. En attendant, les heureux élus de la première session, eux, se posent tous la même question : et maintenant, que faire? Il faut dire que tous les bacheliers n’auront pas la chance d’intégrer les grandes écoles publiques d’ingénieurs et de gestion, ou de trouver une place à l’étranger. Comme les facultés n’ont plus la cote, de plus en plus de nouveaux bacheliers optent pour les écoles privées. Et, il se pose une question cruciale de choix, et ce, pour plusieurs raisons. «Challenge» a posé la question pour les futurs étudiants et leurs parents aux spécialistes de la formation et des études supérieures.

 
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