Interview

«La vitesse de croisière semble atteinte»

Le SIAM offre des occasions de fructifier le business. L’an dernier, les entreprises des pôles machinisme et agro-fournitures ont fait environ 35% de leur chiffre d’affaires annuel.

Challenge. Les pluies abondantes qu’a connues notre pays vont-elles avoir un impact sur la huitième édition du Siam? Si oui, de quelles manières ?
Jaouad Chami. Oui, la pluviométrie influence positivement le salon et surtout les transactions qui s’y déroulent. C’est logique : plus le secteur agricole se porte bien, plus il y a de commerce, plus il y a de recrutements, et c’est l’assurance d’un développement plus conséquent de ce poumon de l’économie marocaine qu’est l’agriculture. Cela dit, malgré un contexte climatique difficile l’an dernier, l’édition 2012 a connu un record de ventes.

C. Faut-il s’attendre à de grandes annonces (publiques ou privées) ? Si oui, de quel genre ?
J.Ch. Comme chaque année, le SIAM est un moment fort du paysage agricole. De nombreux partenariats s’y nouent, des signatures de conventions, des échanges commerciaux. Plus le secteur se développe, plus le salon prend de l’ampleur, et plus il faut s’attendre à de grandes annonces des secteurs publics et privés.

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