Pandémie

Omicron : Voici la partie du corps où le variant frappe en premier

D’après une étude norvégienne, confirmée par une étude américaine, contrairement à ce que l’on croit, les voies nasales ne sont pas la première voie d’entrée du virus avec le variant Omicron.  

Voilà deux ans que le monde lutte contre l’épidémie de la Covid-19. Et comme si ça ne suffisait pas, le variant Omicron est venu donner une autre tournure à cette pandémie. Il s’est propagé à une vitesse sans précédent dans le monde entier, au point de devenir majoritaire dans les contaminations. Ces symptômes les plus courants sont l’asthénie (fatigue), la toux, la fièvre, les céphalées (maux de tête) et les myalgies (douleurs musculaires).

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Et au niveau individuel, l’une des bonnes décisions à prendre est d’aller se faire tester afin de freiner au maximum l’épidémie. Lorsqu’on est cas contact, le signal pour aller se faire tester est assez clair. Mais lorsqu’on ressent des symptômes, ce n’est pas toujours évident. Surtout qu’Omicron se rapproche cruellement d’un rhume. Heureusement, la recherche avance et la médecine aussi.

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D’après une étude norvégienne, 72% des participants touchés par Omicron souffraient de maux de gorge. Un constat qui aurait mis les scientifiques sur une nouvelle piste : le variant Omicron s’attaquerait d’abord à la gorge, avant de s’attaquer aux voies nasales. Une piste qui aurait été confirmée par une seconde étude, américaine cette fois. D’après les chercheurs américains, avec Omicron, le virus serait détectable dans la salive deux jours avant de la retrouver dans le nez. Conclusion : si vous avez mal à la gorge, faites-vous tester !

 
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