eau

Projet d’Interconnexion des Bassins de Sebou et de Bouregreg Prend Vie à Rabat [Vidéo]
Une étape majeure vient d’être franchie dans le projet d’interconnexion des bassins de Sebou et de Bouregreg. Lundi, les premiers mètres cubes d’eau du bassin de Sebou ont atteint le bassin de Bouregreg, marquant ainsi le début de la première tranche urgente de ce projet ambitieux. Le ministère de l’Équipement

Irriguer pour développer les espaces ruraux au Maroc : vers la fin d’un paradigme ?
Agronome de formation, lauréate de l’Institut agronomique et vétérinaire Hassan II de Rabat, Imane Messaoudi-Mattei a consacré ses travaux de recherche à des problématiques liées à la gestion des ressources hydriques et foncières, et aux coopérations et conflits autour de l’eau, notamment en milieu rural. Docteure en géographie sociale de

Rabat. ONEE : La réutilisation des eaux usées épurées entre défis et innovation
L’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) et l’Institut méditerranéen de l’eau (IME) ont planché sur la question de la réutilisation des eaux usées épurées lors d’un atelier tenu jeudi avec la présentation d’expériences de pays voisins. Dans l’objectif d’une meilleure gestion de cette ressource vitale, des recommandations

Edito. Le Maroc a soif
La première soif de la majorité des Marocains est au sens propre du terme. Elle concerne l’eau potable, de plus en plus rare, menacée par le réchauffement climatique dont les causes sont mondiales, mais aussi par le gaspillage et la surexploitation. Prise de conscience, nouveaux comportements et nouvelles pratiques de

El Hafidi : « l’ONEE oeuvre pour l’accélération de la connexion électrique entre les villes »
La stratégie de l’eau au Maroc et les mesures de protection prises dans une situation hydrique difficile que traverse le pays a été l’objet d’une réunion de communication tenue ce mercredi matin à Rabat. Organisée par la Fédération marocaine des médias (FMM), en présence de personnalités des médias et de

Système tarifaire de l’eau : Entre importance et urgence !
La refonte du système tarifaire de l’eau est une action des plus importantes à mettre en place, pour faire face à la crise que connait ce secteur. Toutefois, au vu des aléas climatiques et des stratégies déjà mises en place, notamment pour l’eau d’irrigation, certains experts jugent que cette mesure

Edito. Briser le mur de la cécité
L’eau et l’air, plus que la terre sont indispensables à toute espèce vivante : humaine, animale ou végétale. Mais, paradoxalement, depuis longtemps, parallèlement au développement du savoir et des connaissances scientifiques, l’être humain n’a pas cessé de développer sa propre cécité, pour ne plus être capable de voir cette réalité si

Edito. Produire, se nourrir et nourrir, sans détruire
Eau, terre et travail. Trois éléments indispensables mobilisés depuis la nuit des temps, pour assurer la nourriture et la reproduction de l’espèce humaine. Regroupés aujourd’hui dans des Etats-Nations, les humains ont recours, de plus en plus, aux notions de souveraineté alimentaire, de sécurité alimentaire et d’autosuffisance alimentaire, pour exprimer des

Saïd Mouline : «Le Maroc peut passer du statut d’importateur d’énergie fossile à celui d’exportateur d’énergie verte»
Saïd Mouline est convaincu que le Maroc a toutes les cartes en main pour être incontournable dans le domaine de l’hydrogène vert. Les explications du directeur général de l’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE). Challenge : Quels sont les atouts du Maroc de se positionner dans cette filière d’avenir qu’est

Discours Royal. Pas de croissance ni de développement sans eau et sans investissement
Par M. Amine L’eau est à la base de toute vie ; toutes les activités humaines en dépendent. Sans aucune exception. C’est par ce rappel que le Souverain a commencé son discours d’ouverture de la 2ème année législative. C’est un discours qui cible les priorités urgentes du Royaume et appelle

Stress hydrique au Maroc. Comment réagir face à l’urgence [Par Charaf Louhmadi]
Si l’eau salée est abondante sur la planète bleue, la situation est diamétralement opposée s’agissant de l’eau douce. Les études différant sensiblement, on peut estimer à 3% le stock d’eau douce disponible dont moins d’1% accessible à l’Homme. S’y ajoute le fait que la répartition de cette eau douce demeure

Abdelmoumen Guennouni : « Etablir la liste d’exclusion est nécessaire mais pas suffisant »
Comme partout ailleurs, l’agriculture reste le secteur le plus consommateur d’eau. Confronté à une crise hydrique majeure qui se manifeste par la raréfaction des ressources en eau, le Maroc joue la carte de la rationalisation. Le ministère de l’Agriculture est en train d’établir une liste d’exclusion des cultures fortement consommatrices